Accéder au contenu principal

Qu'est-ce-que LA MUTAGRAPHIE ?

Qu'est-ce-que LA MUTAGRAPHIE ?

✦ La Mutagraphie : Photographier l’invisible, capturer l’imprévisible  ✫ ✫ ✫ ✫ ✫ ✫ ✫   Contrairement à la photographie conventionnelle, où l’on expose des objets pour en figer l’apparence, la Mutagraphie est une plongée dans l’inconnu. Lorsque je compose une nature morte dans mon studio, je sais d’avance ce que l’objectif classique va saisir : une image fidèle à ce que l’œil perçoit, une représentation attendue, presque prévisible. Mais avec la Mutagraphie, tout bascule. Même après avoir disposé les mêmes éléments sur la même table, je ne sais jamais dans quel monde je vais être transporté. Chaque prise de vue devient une traversée imaginaire : parfois je me retrouve dans un espace sidéral, parfois au fond des abysses, entouré de créatures chimériques. C’est là que commence le rêve — et sa capture. Là où la photographie traditionnelle reproduit à l’identique, la Mutagraphie refuse la répétition. Si je reprends une nature morte à intervalles réguliers, le cliché classique ...

AITC

 



✧ AITC

Type : Base spatiale / Port d’émission et de veille affective Symbole : ⦿ (radar de l’âme)

Sur la planète Artisia, AITC est le centre névralgique des transmissions, des départs, et des retours différés. Jadis nommé Aéroport International Tunis-Carthage, il conserve son acronyme comme une empreinte de mémoire, un vestige affectif transposé dans l’espace. Ce lieu, autrefois terrestre, devient dans le récit mutagraphique une base spatiale où Dehcar réside, veille, et émet ses appels vers l’infini.

AITC est à la fois radar émotionnel et port d’attente. C’est là que les ondes d’amour sont modulées, que les fréquences sont ajustées pour atteindre K.Cinna, Luxoria, et les autres mondes de la constellation K. Les couloirs de la base sont tapissés de cartes stellaires, de fragments de poèmes, de messages suspendus dans le vide — autant de tentatives de contact, autant de gestes vers Céleste.

Dans la mythologie mutagraphique, AITC est un lieu de seuil, un espace liminal entre le connu et l’inconnu, entre le souvenir et l’élan. Il incarne le motif du déracinement actif : non pas l’exil, mais le choix de s’arracher pour mieux émettre, pour mieux espérer.

Pluriel : AITCæ ⦿ → Désigne les bases de veille affective, où les appels vers l’autre sont ritualisés, codés, et portés par une mémoire transfigurée.

Commentaires

Rechercher dans ce blog